L’Apps/plateforme numérique initiée depuis 2022 par le CI3P est enfin lancée et accessible
La plateforme Avec P contient de l’information pour une santé globale et est une source d’apprentissage conçue ne partenariat par des patients et des professionnels de santé. Ces perspectives croisées passent de la simple information, à l’E-ETP, de l’éducation citoyenne dans le domaine de la santé, et propose également des méthodologies d’applications à organiser sur votre lieu de vie, de soin, des informations et activités proposées.
Des informations organisées pour des apprentissages sur la fatigue qui aujourd’hui concernent le plus grand nombre, personnes vivant avec une ou des maladies chroniques, proches, étudiants et professionnels de santé comme du psychosocial, des informations à dimension environnementales affectant la santé tels les perturbateurs endocriniens par exemple et bien d’autres.
Des contenus utiles pour les patients, proches, professionnels de santé en formation et en exercice
Avec P a pour ambition d’accueillir les contenus de multiples équipes, de multiples associations de patients et proches de citoyens, d’usagers, comme c’est déjà le cas avec l’AFA-RC Chron ou encore l’Association Française du Syndrome de fatigues Chroniques (AFSC), ou d’organisations institutionnelles comme les résultats de recherche Européennes tel Immersion 360° ou encore un mooc proposé par le centre Antoine Lacassagne de Nice et Unicancer.
Quel que soient leurs origines et les lieux géographiques ou elles se trouvent, en préservant leurs droits d’auteurs sciences ouvertes et droit libres de droit
Cette Apps de santé mobile/plateforme numérique Web, conçue en 2022 sera mise en ligne en 2023, dès qu’une masse critique d’informations et de contenus d’auto-formation la composeront.
Méthodologie d’intégration des contenus
Vous développez des informations sur la santé et l’environnement et
vous souhaitez qu’elles impactent la vie des citoyens, patient proches, étudiants en sciences de la santé, professionnels de santé, nous accueillons votre proposition;
Un comité de pilotage composé de patients partenaires engagés dans les actions du CI3P et de médecins évalue les contenus au vu de la charte éditoriale de l’Apps/plateforme numérique
Les contenus sont intégrés en citant les auteurs, organisations et ceux ci deviennent accessibles pour, selon les contenus : les patient concernés par ce que vous avez développé, les proches, voire les professionnels de santé actuels et futurs, et/ou les citoyens
Dans le cadre du Laboratoire international Associé (LIA) auquel contribue le Centre d’Innovation du Partenariat avec les Patients et le Public sur la thématique « Habiter l’avenir », cette nouvelle rencontre avec les citoyens prolonge la série de rencontres ciné-débat initiée lors de la COP 28
Ces rencontres citoyennes dans un cinéma d’Art et d’essai du centre de Nice, le cinéma Variété s’élaborent en partenariat avec des associations citoyennes, la Maison de la Médecine et de la Culture, membre de l’Alliance et partenaire privilégié du CI3P, l’association environnementale Alternatiba, CREATES, les laboratoires d’art d’Université Côte d’Azur et le département I-DEX d’Université Côte d’Azur.
Le 10 octobre 2024 en présence de tandems de partenariat professionnels de santé-patients partenaires avec le CI3P et de membres de la Maison de la Médecine et de la culture (MMC) organisent une rencontre ciné débat, vous pouvez vous inscrire en cliquant sur l’affiche en accédant à un formulaire
En janvier 2024, deux patient.e.s partenaires diplômés du DU Art du Soin en partenariat avec le patient en ligne impliqués dans la CPTS du pays de Grasse initient une rencontre ciné débat, voire l’affiche ci-dessous. Une CPTS qui exerce aujourd’hui avec 3 diplômés de cette formation, deux patient.e.s partenaires et une médecin.
En 2022, la CPTS Pays de Grasse a intégré un patient partenaire à son conseil d’administration et ouvre une consultation de ce patient partenaire pour recueillir les attentes des patients de la CPTS à la maison de santé pluri-professionnelle Centifolia de la ville de Grasse ( Lire la manière dont la CPTS pays de Grasse présente le CI3P)
Le 22 mars 2023
La CPTS du pays de Grasse en partenariat et le Centre d’Innovation du Partenariat avec les patients et le Public (CI3P) s’associent pour cette journée de sensibilisation avec de 15 à 18 heures des ateliers d’écritures et de photographies. Un patient partenaire diplômé du DU Art du Soin en partenariat avec le patient et deux étudiantes de cette formation proposent d’animer l’atelier d’écriture, au cours du marché du matin, deux d’entre eux seront mobiliser pour échanger avec les citoyens
L’assemblée générale de la CPTS du pays de Grasse a été l’occasion en novembre 2023 de faire un point d’étape du partenariat entre la CPTS et le CI3P
Le tandem de partenariat a participé à la 4ème rencontré ciné-débat le 8 septembre à partir du film » THE FATHER » à Mouans-Sartoux, ville proche de Grasse
Une 3ème rencontre ciné-débat a eu lieu le 19 mai 2022 autour du film « Presque » avec deux patientes partenaires avec le CI3P, membres de l’association des patients avec paralysie cérébrale ( association créée au cours de la formation Art du Soin en partenariat avec le patient 2019-2020), une médecin de la CPTS a participé le 19 mai 2022 à la rencontre ciné-débat à partir du film « Presque » à Mouans Sartoux, ville limitrophe de Grasse
La maison de santé pluriprofessionnelle Centifolia, par le biais d’un tandem médecin patient créé au cours de la formation à l’Art du Soin en partenariat avec le patient en ligne organisées par le CI3P, la MMC et le DERMG d’Université Côte d’azur expérimente les entretiens entre des patients ayant consulté la médecin généraliste du tandem et un patient partenaire diplômé de la formation citée, depuis le printemps 2022.
Une médecin de la CPTS du pays de Grasse a participé les 21, 22, 23 mars 2022 aux évènements de la santé des femmes, avec elles
Une seconde rencontre ciné débat a eu lieu le 3 février 2022 au tour de la sortie du film « Rosy », avec les associations locales dont celle sur la sclérose en plaques, la MMC, le CI3P et des médecins spécialiste du centre spécialisé d’Antibes.
Une première rencontre a eu lieu le Jeudi 25 novembre 2021 en première partie de soirée, suiviele 3 février 2022 d’une première rencontre ciné débat Handi-ciné organisée avec la CPTS du pays de Grasse, deux associations d’usagers en pays de Grasse, du CI3P qui a mobilisé des médecins spécialistes et de l’association citoyenne Maison de la Médecine et de la Culture (MMC) à Mouans en Sartoux.
Le programme de la soirée précédée de l’Assemblée générale de la CPTS de 2021
Afin d’envisager les pistes d’organisation et de développement de la Communauté Pluriprofessionnelle du Territoire de Santé du pays de Grasse, un moment de convivialité et d’échanges autour de 4 ateliers animés est proposé :
Si pour animer l’atelier e-santé, Cécile Colombo qui vous présentera les fonctionnalités d’Azurezo, la messagerie instantanée sécurisée commune pour tous les professionnels des secteurs sanitaire, médico-social et social en Région Sud, l’atelier Patients partenaires – ambassadeurs santé sera lui animé avec Luigi Flora, Codirecteur patient du CI3P et le docteur Jean-Michel Benattar codirecteur opérationnel du CI3P.
En avant première de ce moment convivial de réflexion, voici quelques éléments essentiels composant cette proposition, des réponses aux premières questions qui pourraient émerger disponible également au téléchargement en cliquant ci dessous
Le CI3P crée une communauté de pratiques mobilisant des savoirs complémentaires autour de l’approche « Partenariat Patient » Le CI3P mobilise, dans un état d’esprit de partenariat, des acteurs dans le soin, dont font partie les patients et leurs proches, à partir de l’approche « partenariat de soin avec le patient ». Dans cet objectif, les patients qui souhaitent devenir « patients partenaires » peuvent participer à nos actions.
QUI PEUT DEVENIR PATIENT PARTENAIRES ?
Il y a en France 20 millions de personnes vivant avec au moins une maladie chronique et 11 millions de proches aidants. Tout patient ou proche aidant peut devenir « patient partenaire »dans la relation de soin et dans le système de santé, s’il le désire et s’il est accompagné par un « professionnel de santé partenaire ». Cela nécessite une reconnaissance du patient comme membre à part entière de l’équipe de soin à partir de la complémentarité entre ses savoirs concernant la vie avec la maladie et ceux des professionnels de santé.
QU’ATTEND-ON DE MOI ?
Vous mobiliserez ainsi votre expérience de la vie avec la maladie pour participer aux différentes actions du CI3P dans l’enseignement,la recherche et les milieux de soins. Vous participerez ainsi au rayonnement de la culture du partenariat de soin avec le patient au cœur même de la CPTS.
DEVENIR CITOYEN PARTENAIRE ?
Si les patients partenaires qui vivent avec une ou des maladies chroniques mobilisent leurs savoirs de la vie avec la maladie, d’autres mobilisent des savoirs sur la santé, des citoyens et citoyennes qui peuvent également être partenaires.
AI-JE LE PROFIL POUR PARTICIPER ?
La capacité d’analyse et la volonté de transmettre son savoir expérientiel dans un esprit de co-construction partenariale, sont des pré-requis indispensables. D’autres compétences sont précieuses telles que l’habilité à faire preuve d’altruisme; être à l’écoute, développer une communication interpersonnelle adaptée.
SI VOUS VOUS SENTEZ PRÊT ET DISPONIBLE…
Si vous considérez que rejoindre notre action peut avoir un sens, une première rencontre avec le binôme coordonnateur composé d’un patient et d’un médecin, vous permettra de faire part de vos savoirs expérientiels acquis dans votre parcours de soin.
Ciné débat à partir du film ROSY le 3 FÉVRIER 2022
Le 3 février 2022la CPTS du pays de Grasse en partenariat avec le CI3P, la Maison de la Médecine et de la Culture (MMC), association d’éducation citoyenne dans le domaine de la santé et les associations » Soutien, Espoir et Prévention des patients chroniques » et « des paralysés de France », les médecins neurologues d’Antibes t du CHU de Nice, Saskia Bresch et Renato Colamarino ont proposé un débat, à partir d’une oeuvre d’art récente, le film Rosy (voir la fiche dans notre rubrique Art et Soin) au cinéma La Strada de Mouans en Sartoux.
Un évènement relayé par la presse locale et régionale (Nice Matin,
Cette première doit se poursuivre dans le cadre de cette coorganisation à travers un cycle régulier de Ciné Santé en partenariat avec le centre culturel des Cèdres de Mouans Sartoux, le cinéma La Strada, et les organisations ayant participer à cette première.
Après la série de webinaires de décembre 2019 à mai 2021 sur les nouvelles figures du patient contemporain: avec lui, avec lui organisé avec le groupe de recherche interdisciplinaire en partenariat avec le patient CHERPA,un nouveau cycle est relancé depuis novembre 2024, 4 ans après la création du CI3P et se poursuit en 2025.
avec
Le webinaire organisé organisé le vendredi 25 avril 2025
sur l’implication de patients partenaires formateurs en accompagnement de thèses de médecine et plus particulièrement de modalités partenariales d’attribution de prix de thèse en médecine générale
Le webinaire du mardi 25 mars la recherche participative iES COLLAB sur l’enseignement à la collaboration interprofessionnelle en partenariat avec le patient par une équipe internationale et les premiers résultats intermédiaires
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Le 4ème webinaire du jeudi 20 février 2025 la recherche résultats de la recherche, présenté par, le docteur Stéphane Munck, de conception d’une plateforme numérique autonome d’apprentissage ouverte à tous et plus particulièrement aux étudiants en sciences de la santé de l’Union Européenne, aux patients et à leurs familles.
Ce webinaire présent synthétiquement la recherche menée à partir de deux organisations de l’Alliance sans frontières pour le partenariat de soin avec les patientspar un tandem de partenariat médecin patient, Stéphane Munck et Luigi Flora, d’Université côte d’Azur à partir des Centre d’Innovation du Partenariat avec les patients et le Public (CI3P) et le département d’Enseignement et de Recherche en Médecine Générale (DERMG), qui a été présenté le 31 janvier à l’hôtel Saint Paul de Nice.
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Le 3ème webinaire organisé le 23 janvier 2024 propose le regard et l’analyse d’une anthropologue sur le partenariat patient au cours de la formation initiale des médecin: l’exemple de la faculté de médecine de Nice. Un exemple d’une action encadrée par la l’Article 3 de la loi du 19 juillet relative à la transformation du système de santé : « Les UFR de médecine doivent [favoriser] la participation des patients dans les cours tant pratiques que théoriques » de Loi de 2019.
Le second webinaire organisé le 20 décembre 2024 présente les résultats de recherche sur les tandems de partenariat médecin patient partenaire dans le soin
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Le 1er webinaire de ce nouveau cycle organisé à partir d’une thèse de médecine générale portant sur l’étude d’impact d’un tandem de partenariat médecin patient au sein d’une Maison de Santé Pluri-professionnelle, elle même membre dune Communauté Pluri-professionnelle Territoriale de Santé (CPTS)Il porte sur la restitution de travaux de recherche menés avec le Centre d’Innovation du Partenariat avec les Patients et le Public (CI3P) et Département d’Enseignement et de Recherche en Médecine Générale (DERMG) d’Université côte d’Azur avec pour initier ce cycle mensuel de restitution de recherches menées avec le CI3P .
Résumé de la thèse de Lisa Burel :
Introduction : La démocratie sanitaire a transformé la relation médecin-patient en valorisant l’autonomie des patients. La relation partenariale reconnaissant le savoir expérientiel des patients est un paradigme récent qui se développe en France grâce à des organisations à l’impact transformateur comme le Centre d’innovation du partenariat avec le patient et le public. Dans les milieux de soins, ces patients partenaires commencent à être présents à l’hôpital. En revanche, leur implication dans les soins primaires reste inexistante en France. De ce constat est né un tandem de partenariat entre une médecin généraliste et un patient partenaire au sein d’une maison de santé pluriprofessionnelle. Certains patients suivis initialement par la médecin seule ont ensuite été suivis par ce tandem. Objectif : L’étude vise à explorer les interactions dans cette relation nouvelle triangulaire (médecin, patient partenaire, patient suivi) afin d’émettre des hypothèses quant à la capacité transformative de cette expérience en tant que modèle de soin. Matériel et méthode : Cette étude qualitative repose sur des entretiens semi-dirigés avec la médecin généraliste, le patient partenaire et six patients. Chaque participant a été interrogé deux fois, la seconde rencontre ayant lieu au moins un mois après la première pour observer les changements liés à l’intervention du patient partenaire. Résultats : Au total, 16 entretiens ont été réalisés. Les patients concernés souffraient de maladies chroniques et se trouvaient souvent isolés, rencontrant des difficultés d’accès aux soins. Grâce au partenariat, des améliorations médicales, sociales et psychologiques ont été suggérées par l’ensemble des entretiens. Le patient partenaire a également décrit un impact positif sur sa propre santé. La médecin a constaté une réduction du temps de consultation, du sentiment d’incapacité face à certaines situations complexes et de la charge cognitive pouvant être un facteur de risque d’épuisement professionnel. Discussion : Le tandem de soin médecin-patient partenaire pourrait améliorer globalement la qualité des soins. Pour le généraliser, il faudrait y sensibiliser les professionnels de santé, standardiser la formation des patients partenaires, formaliser leur rémunération et établir un cadre juridique clair. La réussite de ce tandem repose sur la confiance mutuelle et la répartition des rôles.
Les nouvelles figures du patient contemporain, avec lui
Cette série de webinaires initialement organisée en série devant le nombre de participants était initialement penser comme une journée d’étude. Une journée d’étude contrarié par les mesures de confinement prises au cours de la pandémie mondiale de la Covid-19. Cette journée d’étude transformée en série de webinaires sur un an a donc été organisée par visioconférence. Des session audiovisuelle dont les enregistrements audio ont été conservées à destination de la recherche. L’ensemble du matériel audiovisuel des présentations des auteurs et de l’ensemble des échanges en audio reste à la disposition de chercheurs intéressés par ce thème des nouvelles figures de patients d’après leur propre expérience et perception.
Dernière session le 20 mai à 18 heures, en prolongement des sessions précédentes des 12 novembre, lundi 07 décembre 2020, des 14 janvier, 18 février, 18 mars, 15 avril…
Jean-Philippe Assal est né en 1938, médecin, diplômé de l’Université de Genève en médecine en 1964. Cinq ans en recherche fondamentale avec métabolisme intermédiaire, puis selon la Réglementation Suisse cinq ans en médecine interne. Elle a été suivie d’une formation aux Etats-Unis pendant quatre ans dans le domaine du diabète et de l’endocrinologie, puis d’un poste à Genève dans le domaine de l’éducation des patients. Créateur du groupe d’étude sur l’éducation au diabète de l’Association européenne pour l’étude du diabète, qui dispose désormais d’une antenne nationale dans presque tous les pays européens et de divers programmes de prévention des complications et de contrôle du diabète. Depuis 1961, il souffre de diabète de type 1. Cette expérience sera décrite comme un conflit entre l’identité médicale et la réaction du patient. Il a également insisté pour prendre en charge la charge psychosociale dans la prise en charge des maladies et créé le Théâtre de l’expérience vécue qui est aujourd’hui fait pour 1200 patients. Un film de 12 minutes sera présenté sur ce sujet.
Patrick Le Cardinal est psychiatre et psychothérapeute à Chambery, il est un des acteurs qui a contribué à introduire les pratiques orientées rétablissement en France
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Voir les précédents webinaires ci-dessous
Philosophes vulnérables: repenser le handicap.
https://www.youtube.com/watch?v=3HxBJ7viX_s
Philippe Barrier est réalisateur et philosophe, docteur en sciences de l’éducation, patient chronique et auteur de « La blessure et la force » (PUF) et du « Le patient autonome » (PUF). Anne-Lyse Chabert travaille depuis les années 2007 sur le thème de la vulnérabilité, particulièrement dans les situations de handicap. Parallèlement à son travail de recherche, elle est touchée par une maladie neurodégénérative rare et très invalidante sur le plan moteur depuis l’âge de dix ans. Elle a publié son premier ouvrage aux éditions Erès en 2017, Transformer le handicap, dans le prolongement de sa thèse, qui met en valeur les recréations qui peuvent avoir lieu autour de l’individu vulnérable, en l’occurrence ici handicapé.
https://youtu.be/6pckneRHThw
Jérôme Zanelli est un slameur qui socialise son art en tant qu’éducateur dans le cadre, entre autre d’ateliers d’écriture. C’est également un proche qui écrit sur la vie avec la maladie et les impacts et représentations qu’elle véhicule dans sa famille et au delà
https://youtu.be/JAcx9gdQJuw
Olivier Balez, et illustrateur et créateur de bandes dessinées. Il est également le frère dEric Balez, patient vivant avec une maladie chronique qui socialise ses acquis de al vie avec la maladie, un proche contemporain et patient contemporain
Dans le cadre de nos activités de partenariat, nous avons décidé de permettre d’évaluer au delà du discours comment est répartie la parole de tous les événements proposés. Voici donc quelle est la répartition de ce webinaire à partir de ce qui est déjà programmé :
Eric Balez, patient expert en ETP Membre de l’AFA et patient formateur et cochercheur avec CHERPA dans le cadre des activités du CI3P présente ses réalisation et action au service de l’intérêt général
Thomas Chansou, réalisateur et patient formateur impliqué avec le CI3P, ayant été invité à présenter son film à la leçon inaugurale de la faculté de médecine côte d’azur en 201ç et Jean-Michel Benattar, médecin gastro-enterologue, fondateur de la Maison de la Médecine et de la Culture (MMC) et codirecteur opérationnel du CI3P nous présentent comment devenir partenaire par le récit
Après la première session du 12 novembre 2020 que vous pouvez retrouver ci dessous
Luigi Flora, patient chercheur, docteur en sciences sociales, codirecteur patient du CI3P, coordinateur du partenariat avec les personnes à l’épreuve de psychotraumatisme.s au Centre National Ressources et Résilience (CN2R)
Emmanuelle Jouet, co-autrice avec Luigi Flora et Olivier Las Vergnas d’une note de synthèse, publiée il a 10 ans sur la construction et la reconnaissance des avoirs des patients, nous présente le paradigme du rétablissement dans le champ de la santé mentale qu’elle décrit comme une réelle révolution
Guillaume Marquis, sociologue de l’Université Saint-Louis a Bruxelles en Belgique nous éclaire de sa perspective sociologique sur ce qui se joue au 21ème siècle dans la relation dans le champs de la santé mentale
Eric Balez, membre de l’AFA qui y a coordonné le programme national d’éducation thérapeutique du patient (ETP), intervenant en tant que patient formateur et patient cochercheur au coeur de CHERPA et du Centre d’innovation du partenariat avec les patients et le public présente la large palette d’activités au cours desquelles il socialise ses savoirs dans l’intérêt général
Patient-expert, patient-pair, patient-partenaire, patient-chercheur, patient sentinelle, patient-témoin, patient-formateur… sont autant de dénominations pour désigner les nouvelles figures qu’incarnent de plus en plus de patients contemporains dans le contexte émergent de ladite « démocratie en santé ».
Si chacun de ces nouveaux acteurs du champ de la santé se distingue par des singularités et caractéristiques qui lui sont propres en termes de statuts et de fonctions, ce qui les rassemble est la reconnaissance de savoirs et compétences issues du vécu avec la maladie. L’analyse de ces savoirs et compétences – savoirs, savoir-faire, savoir-être, faire-savoir, savoir-analyser…- et de leurs implications individuelles et sociales ont fait l’objet de nombreuses recherches en sciences sociales depuis au moins deux décennies, que ce soit dans les domaines du soin, de la formation ou de la recherche.
Dans le cadre de cette journée d’étude, nous proposons de croiser les regards sur ces nouvelles figures du patient en donnant la parole non seulement aux chercheurs (médecins, anthropologues, psychologues…) mais aussi à des patients (-experts, -partenaires,…) investis dans les domaines du soin, de la recherche et/ou de la formation ainsi qu’à des acteurs qui oeuvrent à leur reconnaissance institutionnelle.
L’objectif de cette journée est de promouvoir et renforcer la recherche en santé sur le modèle du partenariat-patient au sein de l’université Côte d’Azur.
PROGRAMME
Jeudi 12 novembre 2020, de 17h00 à 17h45 Fabienne Hejoaka, anthropologue, chercheure-patiente, LPED-IRD. « Faire de sa maladie son objet de recherche : Regard auto-ethnographique et critique d’une chercheure-patiente« . De 17h45 à 18h30 : Luigi Flora, Chercheur-patient en sciences de l’éducation, CI3P, CN2R, DCPP, « Des patients mobilisant leurs savoirs pour leurs soins à ceux mettant leurs compétences au service de l’intérêt général«
Lundi 07 décembre 2020 de 17h00 à 17h45 Emmanuelle Jouet, Chercheuse. Centre de recherche en santé mentale, et sciences humaines et sociales, GHU Paris Psychiatrie et Neurosciences. « Partenariats en actes: une approche en santé mentale« De 17h45 à 18h30 : Nicolas Marquis, sociologue, Université Saint-Louis, Bruxelles. « Patient, soignant, chercheur en santé mentale : un point commun inattendu – expériencesd’une enquête de terrain« .
Jeudi 14 janvier 2021 de 17h00 à 17h45 Eric Balez, patient-expert, Association Crohn RCH France, CI3P, « Le patient partenaire au centre du système de santé« . De 17h45 à 18h30 : Jean-Michel Benattar, médecin gasto-entérologue, DU Arts du Soin en partenariat avec le patient, CI3P, et Thomas Chansou Cinéaste, patient-partenaire, CI3P. « Etre, devenir patient.e partenaire à travers les récits artistiques de soi« .
Laboratoire organisateur : LAPCOS et son nouveau groupe de recherche interdisciplinaire en partenariat avec le.s patient.s CHERPA
Rejoignez-nous le mardi 18 mars au cinéma Variétés à Nice pour la projection de Perfect Days (2023) de Wim Wenders, un film qui invite à réfléchir sur la recherche de la beauté au quotidien.
La séance sera suivie d’un échange sur la thématique « Habiter », animé par les membres du Laboratoire International Associé « Arts, société, mieux-être » (LIA-Asme) :
Jean-Paul Aubert, Professeur des universités, Historien du Cinéma, Laboratoire LIRCES, Co-Directeur de l’Ecole Universitaire de Recherche Arts et Humanités, Université Côte d’Azur
Jean-Michel Benattar, Médecin, Coordinateur opérationnel du Centre d’Innovation du Partenariat avec les Patients et le Public,Faculté de Médecine de Nice, Université Côte d’Azur
Luigi Flora, Docteur en Sciences de l’Education, Co-Directeur patient du Centre d’Innovation du Partenariat avec les Patients et le Public, Faculté de Médecine de Nice, Université Côte d’Azur
Johann Tetart, Médecin, militant avec Alternatiba06, Chargé d’Enseignement Vacataire, Université Côte d’Azur
Céline Tisseur, Docteure en Sciences de l’Art, Laboratoire RETINES, Université Côte d’Azur
Informations pratiques
Début de la projection : 19h30
Tarifs :
Étudiants et demandeurs d’emploi (sous présentation d’un justificatif) : gratuit
Autres participants : 4€
Adresse : Cinéma Variétés, 5 Boulevard Victor Hugo, Nice
ARGUMENTAIRE ET APPEL À COMMUNICATION DU 5ème COLLOQUE DE RECHERCHE JURIDIQUE ET ETHIQUE SUR LA PLACE DU PARTENARIAT PATIENT AU 21ème SIECLE
sur le thème
Etude et expérience comparative internationale sur le partenariat de soin avec le patient, à quelques niveau que ce soit, et sur la pair-aidance tant en santé mentale que dans d’autres domaines de la santé
Alors que, depuis 2020, nous avons proposé un état des lieux des approches partenariales avec les patients ou les usagers (le partenariat de soin avec le patient: analyses N° 2 de 2021)[1]. Et ceci, en prolongement du fait social issu du mouvement des malades en ce qui concerne leur part de savoirs (Flora, 2012[2]; Jouet, 2013[3]; Jouet, 2014[4], Flora et al, 2014[5]) pour le 1er colloque de cet axe de recherche. Nous avons interrogé la place du patient dans l’environnement numérique du système de la santé pour le 2ème colloque en 2022 (revue du droit de la santé et de l’assurance maladie N°36 de 2023)[6] puis proposé un questionnement sur la rétribution et la professionnalisation des patients au service de l’intérêt général lors du 3ème colloque (2023) (le partenariat de soin avec le patient: analyses N°7[7] de 2024 et les études hospitalières de 2025) puis enfin sur ces nouvelles figures du soin que sont les médiateurs de santé publique, médiateurs de santé pair, pairs aidants et patients partenaires pour le 4ème colloque (2024) (à paraître aux études hospitalières de 2025). Le 5ème colloque du 31 octobre 2025 aura pour thème : Etude et expérience comparative internationale sur le partenariat de soin avec le patient et sur la pair-aidance tant en santé mentale que dans d’autres domaines de la santé.
Alors que quinze ans nous séparent de l’ouverture de l’émergence de ce que les états-uniens d’Amérique (Fulmer & Gaines, 2014)[8] ont intitulé « the Montreal Model » (Pomey et al, 2015)[9] définissant le partenariat patient et le patient partenaire, de nombreuses initiatives se sont développées tant en France (Flora et al, 2016[10]; Saint Jean et al, 2022[11]; Larget et al, 2023[12]; CNOM, 2023 [13] ; Reach et al, 2024 [14]), qu’au cœur de l’union européenne (Consortium APPS, 2020[15] ; Otaka et al, 2024[16]) et à l’international (Prebeg et al, 2022[17]; Anhorn 2023[18], Richards et al, 2023[19]) sur le partenariat de soin avec le patient, en prolongement de certaines pratiques de pair-aidance en santé mentale (Greacen, Jouet, 2012[20]; Le Cardinal et al, 2013[21]).
Un mouvement des personnes qui vivent avec des troubles psychiques qui a largement bénéficié des mutations générées par les associations issues de la pandémie VIH-SIDA (PWA1983[22]; Epstein, 1996[23]; Barbot, 2002[24]) au cours des deux dernières décennies du 20ème siècle[25]. Des mutations qui ont bouleversé les rapports de pouvoir à un moment où la médecine était sans solution face à une population jeunes décimée sans période de guerre dans les principaux états concernés, une période d’incertitude donc qui peut sous certaines perspectives être rapprochée de l’état des systèmes de santé actuellement menacés dans leurs modèles économiques (Chambaud, 2022[26]; Comité Consultatif National d’Éthique, 2022[27]; Portella, Barrubés, 2015[28]; Cornilleau 2012[29]; OMS 2009[30]).
En conséquence et en lien avec les problèmes de démographie médicale (Frélaut, 2018) [31] et paramédicale (DRESS, 2023)[32]. Un contexte politique, économique et social qui peut avoir contribué à l’apparition de nouvelles figures du soin issus du mouvement des malades demandant de plus en plus à participer dans les domaines qui les concernent.
Les communications sont attendues pour le 1er septembre 2025 minuit au plus tard.
Elles peuvent concerner des patients partenaires et le partenariat patient
– dans ses dimensions systémiques,
– ou éclairer les volets de leur implication dans l’enseignement des professionnels de santé ;
– dans la pair-aidance ou l’éducation par les pairs ;
– dans les milieux de soin, dans la recherche
– dans ses propres soins
– ou encore en terme d’éducation populaire dans le domaine de la santé.
– Il peut s’agir de médiation pair en santé mentale ou dans les champs ouverts à partir de leur expérience pionnière.
– Les études peuvent questionner la pratique, l’éthique et le juridique au vu par exemple de la première recommandation du livret blanc qui concluait fin 2020 la recherche Européenne Approche Patient Partenaire de Soin qui recommandait de « Repenser, à la lueur de la notion de partenariat, les textes législatifs sur les droits du patient et encourager, au niveau de la grande région (GR), la recherche d’une harmonisation en ce qui concerne leur intention » et qui a motivé le lancement de cet axe de recherche dans lequel est lancé cet appel à communication ( Consortium APPS, 2020);
– Il peut également être question de traiter de parallèles et de différences, de comparaisons entre ses nouvelles figures agissant dans le domaine de la santé et du social ;
– ou encore des politiques de santé qui les encadrent comme du manque de politiques de santé à cet égard.
Modalités de soumission
La forme des soumissions doit comprendre un résumé de 300 à 350 mots, le nom de l’auteur ou des auteurs avec coordonnées courriel de l’auteur principal, l’affiliation s’il y a lieu, le titre de la communication, cinq mots clés, la bibliographie s’il en existe une. Les communications retenues pourront être prolongées par un article dans un numéro spécial ou un ouvrage collectif.
Envoyer les soumissions avant le 3 septembre 2025 à l’adresse courriel du CI3P, accessible en cliquant ici
Des communications relayées dans les publications scientifiques
Les articles qui prolongent les communications sont un invariant de cet axe de recherche avec les publications des colloques précédents publiés dans les revues suivantes
[2] Flora L. (2012). Le patient formateur : élaboration théorique et pratique d’un nouveau métier de la santé, Thèse de doctorat de sciences sociales, spécialité « Sciences de l’éducation », Université Vincennes Saint Denis – Paris 8, campus Condorcet, p. 385
[3] Jouet E. (2013). Faire de la maladie un apprentissage : l’exemple du projet EMILIA, éducation permanente, N°195, pp 73-84.
[4] Jouet, E. (2014). La reconnaissance des savoirs des malades : de l’émergence au fait social. Dans Nouvelles interventions réflexives dans la recherche en santé : du savoir expérientiel des malades aux intervention des professionnels de santé. Archives contemporaines, Paris, pp. 9–21.
[5] Flora L., Jouet E., Las Vergnas O. (2014), « Contribution à la cartographie des publications établissant le fait social de la reconnaissance des savoirs des malades », dans Nouvelles interventions réflexives dans la recherche en santé : du savoir expérientiel des malades aux interventions des professionnels de santé, Paris, Archives contemporaines, pp. 235-236.
[6] Flora L. (2023). La place des patients au 21ème siècle : l’exemple de l’implication des patients partenaires avec le CI3P dans l’environnement numérique, pp. 10-18.- Williatte L. (2023). Le numérique en santé : une nouvelle opportunité pour le patient d’être un acteur de santé ?, pp. 18-24. – Rubinstein S. (2023). L’e-santé mentale : miroir aux alouette ou futur des soins psychiatriques ? pp. 19-25 – Morlet-Haïdira L. (2021). L’empowerment du patient dans l’espace de santé numérique « mon espace santé ». pp 34-44 – Bevière Boyer B. (2023). Les perspective éthiques et juridique du suivi numérique de santé à vie du patient du XXIème Siècle, pp. 45-54.
[8] Fulmer, T, Gaines, M. (2014). Partnering with Patients, Families, and Communities to Link Interprofessional Practice and Education. Proceedings of a conference sponsored by the Josiah Macy Jr. Foundation in April 2014; New York: Josiah Macy Jr. Foundation
[10] Flora L., Karazivan P., Dumez V. Pomey M.-P., « La vision « patient partenaire » et ses implications : le modèle de Montréal. », La revue du praticien, avril 2016, Tome 66, N° 4, pp. 371-375.
[11] Saint-Jean M., Aussel L. (2022). L’évolution de la posture des patients partenaires – analyse d’un pouvoir en partage. Perspective soignante, n° 74. ⟨hal-03934181⟩
[12] Larget A., Tournaire N., Ragain-Gire F., L’Espérence A., Allory E., Jarno P., Berkesse A. (2023). Le déploiement du partenariat en santé en France. Soins cadres – no 144 – juin 2023, pp. 21-27
[13] CNOM (2023). Le patient partenaire. Rapport du Conseil National de l’Ordre des Médecins, Paris.
[14] Reach G. Jaury P., au nom du groupe de travail de l’ANM (2024). Rapport 24-08. Patients Partenaires. Rapport et recommandations de l’Académie nationale de médecine. Bulletin de l’ANM-1255. Paris Elsevier.
[18] Anhorn P. (2023). Le partenariat de soins : enjeux et perspectives pour les systèmes de santé. in L’expérience dans l’innovation en santé modes éphémères ou nouveau paradigme ? (dir. Flora, Grenier Ponsignon): London: Iste, pp. 277-296.
[20] Greacen T., Jouet E. (2012), Pour des usagers de la psychiatrie acteurs de leur propre vie, Toulouse, Erès.
[21] Le Cardinal P et al. (2013). Pratiques orientées vers le rétablissement et pair-aidance: historique, études et perspectives. L’Information psychiatrique; N° 89, pp.365-730.
[23] Epstein S. (1996), Histoire du SIDA, 2 tomes, Paris, Les empêcheurs de tourner en rond (édition 2001), Impure Science, Aids, Activism and the politics of knowledge, Berkeley et Los Angeles, University of California press.
[24] Barbot J. (2002). Les malades en mouvements. La médecine et la science à l’épreuve du Sida, Paris, Balland.
[25] Dans ces Principes de Denver, les malades du VIH SIDA refusent d’être considérés comme des victimes et demandent d’être désormais partie prenante à tous les niveaux de décision, de participer à tous les colloques sur le sida, d’y bénéficier d’une crédibilité égale à celle des autres intervenants, d’y faire connaître leurs expériences. Ils déclarent que tout ce qui se fait sans eux se fait contre eux.
[28] Portella E., Baribès J. (2015). Crise économique, systèmes de santé et état de santé de la population : peut-on établir des liens ? Santé publique. 2015/1 Vol.27, pp. 5-6.
[33] Rubinstein S. « La délicate question de la rétribution du savoir expérientiel ». Bordeaux: Les actes aux études hospitalières, à paraitre
[34] Cette revue aujourd’hui intégrée à la plateforme numérique de sciences ouvertes Episciences, un réseau coordonnée par le CNRS et créé avec l’INRIA et l’INRAE), elle initie l’epi « sciences de la santé ».
Prochains événements de la Semaine Internationale du Son de l’Unesco 2025 en co-organisation avec les associations Art en Partage, Maison de la Médecine et de la Culture et le Centre d’Innovation du Partenariat avec les Patients et le Public (CI3P), Université Côte d’Azur
Mardi 28 janvier 20h Cinéma Variétés Nice 5 Bd Victor Hugo, Entrée 5 euros Ciné-débat à partir du film LE CHANT DES VIVANTS de Cécile Allegra (2023) en présence d’Amélie Andrieu, To et Klaas, Tjoelker de l’association LIMBO et Xavier Vatin, ethno-musicologue
Mercredi 29 janvier 13h30-18h LA MUT – INSTITUT CLAUDE POMPIDOU 10 rue Molière, Nice, entrée libre sur réservation Ateliers participatifs, conférences et débats sur le Chant & Chorales 13h30-13h 45 Accueil 13h45-14h30 Atelier « Le chant des possibles » Eleonor Rosanis, chanteuse lyrique & Caroline Blanco, patiente partenaire avec le CI3P 14h30-16h15 Atelier « Nos corps de sensibles » avec Frédérique Py, professeur de musique, musicienne et patiente partenaire avec le CI3P. 16h15-16h30 Pause 16h30-18h Atelier « La voix essentielle » avec Aubin Timsit, musicien, chanteur, auteur compositeur, accompagnant vocal
Mercredi 29 janvier 20h Art en Partage 19 rue Saint François de Paule, NiceJonathan Benichou au piano en concert « Du souffle sonore à la vision » pour des compositions de Rameau, Fauré, Scriabine, Liszt, Villa-Massone en présence du compositeur Steve Villa-Massone Le concert sera suivi d’un atelier d’écriture inspiré de la médecine narrative
Jeudi 30 janvier 20h Art en Partage 19 rue Saint François de Paule, NiceJonathan Benichou au piano en concert « De l’architecture en musique à la vision de l’atome » pour des compositions de Rameau, Fauré, Scriabine, Liszt, Villa-Massone en présence du compositeur Steve Villa-Massone Le concert sera suivi d’un atelier d’écriture inspiré de la médecine narrative
Dimanche 2 février 19h (accueil 18h30-19h) Art en Partage 19 rue Saint François de Paule, NiceCONCERT ThL Trio pour Un voyage immobile avec Thomas Layrac, Gilles Triquenot & Thierry Chausse
VOUS DÉSIREZ INTÉGRER LE PROGRAMME « PATIENTS PARTENAIRES » À LA FACULTÉ DE MÉDECINE DE NICE, UNIVERSITÉ CÔTE D’AZUR ? La Maison de la Médecine et de la Culture (MMC) & le Centre d’Innovation du Partenariat avec les Patients et le Public (CI3P) de la Faculté de Médecine de Nice proposent de rencontrer des personnes ayant une expérience de la vie avec la maladie ou de situation de handicap (en tant que patients ou proches) et désirant mobiliser leurs savoirs expérientiels au sein du système de santé dans l’enseignement, la recherche et les milieux de soins. Plus d’informations en contactant le 06.03.04.36.31, sur le site ci3p.univ-cotedazur.fr, ou en écrivant ICI
Alors qu’un nouvelle COP a eu lieu en novembre 2024, a 29ᵉ Conférence des Parties sur le changement climatique organisé du 11 au 22 novembre 2024 à Bakou, en Azerbaïdjan, l’Université Côte d’Azur, en prolongement de la précédente COP au sujet de laquelle avait déjà été organisé ce type d’évènement, a sollicité les Centre d’Innovation du Partenariat avec les patients et le Public et la Maison de la Médecine et de la Culture pour réorganisé une rencontre ciné débat.
C’est ainsi, qu’associé au professeur en histoire de l’Art codirecteur de CREATES, Jean-Philippe Aubert, en en présence d’une membre du CI3P, professionnelle de santé également docteure en histoire de l’Art, Celine Tisseur, le jeudi 5 décembre au cinéma Variété de Nice sera organisé un débat à partir de la projection du film de 2016
Comme pour tant d’autres projets, l’ambition de proposer une revue semestrielle pour mettre en avant la recherche, y compris une recherche ouverte aux patients et pas uniquement au professionnels de la recherche afin de donner lisibilité et possibilité de reproductibilité voire de réfutabilité si nécessaire de nouvelles pratiques dans ce champ.
Cette revue est donc accessible en ligne gratuitement et ses articles sont référencés et accessibles sur la plateforme du Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) Archives Ouvertes (HAL) et est en cours d’intégration du réseau de science ouverte EPISCIENCES dont les dernières étapes administratives sont en cours.
Vous pouvez soumettre directement vos propositions sur l’interface numérique de la revue sur le site interne EPISCIENCES
En cas de difficulté, vous pouvez nous contacter directement en cliquant ici
Cette revue entre dans le cadre philosophique de la charte patients included auquel son éditeur, le CI3P et l’Université Côte d’Azur de par sa politique de recherche prend en compte
La politique de recherche de l’Université développée à travers l’écosystème de santé et les facultés et écoles qui y participent
Après la publication des N°1 du printemps 2020 et les N°2, et N°3 de 2021, et la publication des deux numéros de 2022 (N° 4 – N° 5), et enfin du l’appel à du N°6 à l’été 2023, l’appel à contribution d’article pour le 1er semestre 2024 est ouvert.
Il est possible ;
de soumettre des articles sur le partenariat, de prise de position critique sur l’approche, d’étape vers le partenariat, freins rencontrés…;
qu’ils soient sous la forme de réalisation ou de projet sur le partenariat ou en chemin vers…;
de proposer une analyse critique de cette approche argumentée scientifiquement;
Des articles qui traiterait des modes de partenariat ou de ses empêchement au cours des deux premières années de pandémie mondiale, la pandémie de la Covid-19
Le format
L’article doit être précédé des résumés contenant les mots-clés en français et en anglais, voire d’un autre langue si l’auteur ou les auteurs le souhaitent.
Les auteurs doivent, si c’est le cas, expliciter leur affiliation, qu’elle soit académique, associative ou de tout autre institution ou autre.
Les propositions d’articles peuvent être déposées en format texte en cliquant ici.
Chaque article sera évalué au fil de l’eau par deux membres du comité scientifique ou orienté vers un spécialiste du domaine par le comité scientifique.
Les propositions d’articles de congressistes prolongeant des communications issues des rendez-vous organisés régulièrement depuis le congrès initial de 2019, comme autre volonté exprimée lors de la séance d’intelligence collective déjà présentée lors des 3 colloques proposés à Nice (2019), Toulouse (2021) et Rennes (2022 peuvent également être acceptées bien l’appel à communication n’est pas exclusif à ces colloques.
L’appel à contribution est ouvert
Le format accepté est de 3 500 mots par article dans le corps de texte, bibliographie non comprise, et ce bien qu’il est possible si le contenu est pertinent de dépasser ce format, comme vous pourrez le constater à la lecture des numéros publiés .
[1] Le mode d’édition numérique permet cependant de dépasser ce format selon la qualité de l’article.