Alors qu’un nouvelle COP a eu lieu en novembre 2024, a 29ᵉ Conférence des Parties sur le changement climatique organisé du 11 au 22 novembre 2024 à Bakou, en Azerbaïdjan, l’Université Côte d’Azur, en prolongement de la précédente COP au sujet de laquelle avait déjà été organisé ce type d’évènement, a sollicité les Centre d’Innovation du Partenariat avec les patients et le Public et la Maison de la Médecine et de la Culture pour réorganisé une rencontre ciné débat.
C’est ainsi, qu’associé au professeur en histoire de l’Art codirecteur de CREATES, Jean-Philippe Aubert, en en présence d’une membre du CI3P, professionnelle de santé également docteure en histoire de l’Art, Celine Tisseur, le jeudi 5 décembre au cinéma Variété de Nice sera organisé un débat à partir de la projection du film de 2016
Comme pour tant d’autres projets, l’ambition de proposer une revue semestrielle pour mettre en avant la recherche, y compris une recherche ouverte aux patients et pas uniquement au professionnels de la recherche afin de donner lisibilité et possibilité de reproductibilité voire de réfutabilité si nécessaire de nouvelles pratiques dans ce champ.
Cette revue est donc accessible en ligne gratuitement et ses articles sont référencés et accessibles sur la plateforme du Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) Archives Ouvertes (HAL) et est en cours d’intégration du réseau de science ouverte EPISCIENCES dont les dernières étapes administratives sont en cours.
Vous pouvez soumettre directement vos propositions sur l’interface numérique de la revue sur le site interne EPISCIENCES
En cas de difficulté, vous pouvez nous contacter directement en cliquant ici
Cette revue entre dans le cadre philosophique de la charte patients included auquel son éditeur, le CI3P et l’Université Côte d’Azur de par sa politique de recherche prend en compte
Après la publication des N°1 du printemps 2020 et les N°2, et N°3 de 2021, et la publication des deux numéros de 2022 (N° 4 – N° 5), et enfin du l’appel à du N°6 à l’été 2023, l’appel à contribution d’article pour le 1er semestre 2024 est ouvert.
Il est possible ;
de soumettre des articles sur le partenariat, de prise de position critique sur l’approche, d’étape vers le partenariat, freins rencontrés…;
qu’ils soient sous la forme de réalisation ou de projet sur le partenariat ou en chemin vers…;
de proposer une analyse critique de cette approche argumentée scientifiquement;
Des articles qui traiterait des modes de partenariat ou de ses empêchement au cours des deux premières années de pandémie mondiale, la pandémie de la Covid-19
Le format
L’article doit être précédé des résumés contenant les mots-clés en français et en anglais, voire d’un autre langue si l’auteur ou les auteurs le souhaitent.
Les auteurs doivent, si c’est le cas, expliciter leur affiliation, qu’elle soit académique, associative ou de tout autre institution ou autre.
Les propositions d’articles peuvent être déposées en format texte en cliquant ici.
Chaque article sera évalué au fil de l’eau par deux membres du comité scientifique ou orienté vers un spécialiste du domaine par le comité scientifique.
Les propositions d’articles de congressistes prolongeant des communications issues des rendez-vous organisés régulièrement depuis le congrès initial de 2019, comme autre volonté exprimée lors de la séance d’intelligence collective déjà présentée lors des 3 colloques proposés à Nice (2019), Toulouse (2021) et Rennes (2022 peuvent également être acceptées bien l’appel à communication n’est pas exclusif à ces colloques.
L’appel à contribution est ouvert
Le format accepté est de 3 500 mots par article dans le corps de texte, bibliographie non comprise, et ce bien qu’il est possible si le contenu est pertinent de dépasser ce format, comme vous pourrez le constater à la lecture des numéros publiés .
[1] Le mode d’édition numérique permet cependant de dépasser ce format selon la qualité de l’article.
ARGUMENTAIRE ET APPEL À COMMUNICATION DU 4ème COLLOQUE DE RECHERCHE JURIDIQUE ET ETHIQUE SUR LA PLACE DU PATIENT AU 21ème SIECLE
Alors que l’année 2023 a vu des rapports publiés sur le patient partenaire (Ministère de la santé 2023[1], CNOM, 2023[2]), que l’académie de médecine a présenté le 23 janvier dernier au ministère de la santé une réflexion sur cette dernière figure de patient et sur les médiateurs dans le domaine de la santé (Berkesse et al, 2023)[3], que l’Académie de Médecine a présenté le 23 janvier dernier au Ministère de la Santé une réflexion sur cette dernière figure de patient, le Centre de Recherche Juridique Paris 8 (CRJP8) et le Centre d’Innovation du Partenariat avec les Patents et le Public (CI3P) d’Université Côte d’Azur ont décidé pour le 4ème colloque de recherche juridique et éthique initié au sein de l’axe de recherche sur la place du patient au 21ème siècle de questionner ces nouvelles figures et leurs fonctions à partir de ce titre :
Médiateur de santé publique/de santé pair et patient partenaire
Alors que lors de la 1ère décennie du 21ème siècle, l’Université Paris 8 dans le cadre de la formation continue a initié des formations sur la médiation et que le Centre d’Innovation du Partenariat avec les Patients et le Public (CI3P) de la faculté de médecine d’Université Côte d’Azur propose de développer une culture du soin en partenariat avec les patients, il est apparu pertinent au vu des rapports publiés de questionner ces nouvelles approches afin de définir ou de cerner les points communs et différences dans ce qu’ils proposent.
L’UFR droit de l’université Paris 8 a créé en 2005 un diplôme universitaire puis des formations intitulées « information, médiation et accompagnement en santé »[1]. Elle reprenait une première initiative en prolongement du sentiment de nécessité de former des médiateurs de santé publique à la fin du 20ème siècle. Une entreprise réalisée à l’université Paris 7 par l’Institut Médical d’Epidémiologie Appliquée (IMEA) (DGOS, 2006[4]; HAS, 2007[5]).
Dans l’esprit de Paris 8, il était alors question de répondre à une commande sociale spécifique issue des états généraux avec les malades du cancer et principalement de la mesure 42 du 1er plan cancer[2]. Une formation qui au fil des ans s’est ouverte, comme celle de l’IMEA à d’autres problématiques de santé et à d’autres populations.
Or, à la fin de la première décennie de ce siècle, le Centre Collaborateur de l’Organisation Mondiale de la Santé Europe en santé mentale s’est intéressé à l’approche proposée et, après y avoir envoyé étudier des personnes vivant avec des troubles psychiques, a proposé une rencontre avec l’équipe pédagogique afin de coconcevoir une formation diplômante inter-universitaire de Médiateur de santé pair dans le domaine de la santé mentale sur les bases de la formation créée en 2005 (Lunel, 2020)[6].
Ce fut la première formation interuniversitaire de pairs aidants en santé mentale de France. Un processus de formation par alternance et d’intégration de pairs aidants dans le système de santé fut ainsi engagé et donna lieu quatre ans plus tard à un rapport de cette expérimentation (Roelandt et al. 2014).[7] Depuis de nombreuses formations de pair-aidance en santé mentale ont vu le jour et la question de la pair- aidance comme de la médiation en santé s’est développée auprès d’autres populations comme par exemple actuellement auprès des personnes concernées par un cancer ou dans le domaine de la précarité comme le programme mondial « Housing First » (2018)[8] et sa déclinaison en France sous l’appellation « un chez soi d’abord » (Laval, 2022)[9]
C’est de cette rencontre que la première formation de médiation de santé pair en santé mentale, dans un cadre inter-universitaire (Paris 8 – Centre hospitalier de Sainte-Anne à Paris, Lille et Marseille) mobilisant ouvertement des personnes directement concernées par des troubles psychique fut organisée.
C’est également au cœur de la formation qui inspira la formation en alternance à la médiation de santé pair que les premiers travaux académiques sur les patients formateurs auprès des étudiant en médecine ont été menés (Flora, 2007[10]; 2010[11]), des travaux qui ont participé à ce qu’une 2019 une loi soit adoptée visant à ce que les UFRs de médecine favorisent l’implication des patients dans les cours théoriques et pratiques[3].
Un cadre législatif qui a été repris quatre ans plus tard, pandémie mondiale oblige, pour que des recommandations soient publiées par le ministère de la santé et de la prévention pour accompagner les institutions dans cette démarche et dont un comité de suivi poursuit l’accompagnement des mesures à adopter en 2024.
C’est également de ses premiers travaux dont est issus le processus qui permit pour partie d’éclairer les savoirs expérientiels de patients (Jouet et al, 2010)[12]. Des savoirs qui avec les compétences des patients leur permettent de mobiliser des savoirs et de les socialiser (Flora, 2012[13]; 2015[14]; DCPP, 2015[15]), ce qui constitue la base de l’assise conceptuelle de l’approche du partenariat de soin avec le patient (Karazivan et al, 2015[16]; Pomey et al, 2015[17]) ou approche patient partenaire de soin telle qu’étudiée par quatre états membres de l’Union Européenne financée par le programme INTERREG (Consortium INTERREG, 2020)[18].
C’est donc de cette histoire qui accompagne le développement de la santé publique composant avec la démocratie en santé que s’organise avec les personnes concernées l’adaptation du système de santé, du médico-social et de la société dans le domaine de la santé et de la solidarité. C’est ce qui amène ce 4ème colloque de recherche juridique et éthique à l’appel à soumission pour communication de ce colloque qui sera organisé sur le campus Condorcet en Île-de-France en décembre 2024.
Les communications attendues peuvent mettre en lumière les actions de médiation dans le domaine de la santé, qu’elles soient issues de la médiation de santé publique, de la médiation de santé pair comme d’analyses critiques sur les actions et le cadre législatif existant ou de ce qu’il serait nécessaire d’adopter.
Elles peuvent concerner des patients partenaires pour leurs propres soins, leur participation à l’enseignement, les milieux de soin, la cité ou la recherche. Il peut également être question de traiter de parallèles et de différences, de comparaisons entre ses nouvelles figures agissant dans le domaine de la santé et du social, ou encore des politiques de santé qui les encadrent comme du manque de politiques de santé à cet égard.
Les prolongement des colloques de cet axe de recherche initié en 2020
Le 3ème colloque donne lieu à publication ( en cours de rédaction puis de publications) à des actes qui paraîtront aux éditions Hospitalières.
Le site du colloque : le campus Condorcet, plus grande concentration de chercheurs en sciences humaines et sociale d’Europe Campus Condorcet Auditorium de l’Humathèque 8, cours des Humanités 93322 Aubervilliers CEDEX
La date : Le lundi 16 décembre 2024
Bibliographie
[1] Diplôme Universitaire et Maîtrise/Master 1 de droit de la santé
[2] Cette mesure 42 relevait d’une demande des malades de pouvoir s’entretenir sur les traitements et la vie avec la maladie au sein de l’établissement dans lequel ils sont soignés avec des professionnels non impliqués dans leur parcours de soin.
[3] Article 23 de la Loi du 24 juillet 2019 relative à l’organisation et la transformation du système de santé : les UFRs médicale doi[ven]t favorise[r] la participation des patients dans les cours pratiques et théoriques
[4] Cette revue aujourd’hui intégrée à la plateforme numérique de sciences ouvertes Episciences, un réseau coordonnée par le CNRS et créé avec l’INRIA et l’INRAE), elle initie l’epi « sciences de la santé ».
[1] Thomas B., Fourcade A. Morlat P. (Dir.) (2023). Etat des lieux et perspectives pour le déploiement de la participation des patients dans la formation initiale des médecins. Ministère de la santé et de la prévention. France.
[2] CNOM (2023). Le patient partenaire. Commission des relations avec les associations de patients et d’usagers Section Éthique et Déontologie du Conseil de l’Ordre des Médecins
[3] Berkesse A., Denormandie P., Henry E., Tourniaire N., Belkhir F. (2023). La médiation en santé : un levier relationnel de lutte contre les inégalités sociales de santé à consolider. Rapport IGAS de juillet 2023 ( Inspection Générale des Affaires Sociales).
[4] DGS (2006), Evaluation des actions de proximité des médiateurs de santé publique et de leur formation dans le cadre d’un programme expérimental mis en œuvre par l’IMEA, Paris, Direction générale de la santé.
[6] Lunel A. (2021). Du patient formateur au médiateur de santé pair : histoire d’une formation ancrée dans la cité. Pratiques de formation : Analyses. N° 2, pp. 8-24.
[7] Roelandt J.-L., Staedel B., Rafael F., Marsili M., François G., Le Cardinal P., Desmons P. (2014). Programme Médiateurs de santé/pairs : Rapport final de l’expérimentation 2010-2014. Centre Collaborateur de l’Organisation Mondiale de la Santé pour la recherche et la formation en santé mentale, EPSM Lille Métropole.
[8]Estecahandy P., Laval C. (Dir.) (2018). Housing First.Au-delà du sans-abrisme et de la psychiatrie.Vie sociale 2018/3-4 (n° 23-24), Toulouse. Erès.
[10] Flora L. (2007). Le patient formateur auprès des étudiants en médecine. Maîtrise, en droit de la santé, Université Vincennes Saint Denis – Paris 8
[11] Flora L. (2010). Le patient formateur auprès des étudiants en médecine : un concept effectif. Revue Générale de Droit Médical (RGDM), N° 34, mars 2010, éditions Les études hospitalières, Bordeaux, pp.115-135
[13] Flora L. (2012). Le patient formateur : élaboration théorique et pratique d’un nouveau métier de la santé, Thèse de doctorat de sciences sociales, spécialité « Sciences de l’éducation », Université Vincennes Saint Denis – Paris 8, campus Condorcet.
[14] Flora L. (2015), Un référentiel de compétences de patient : pour quoi faire ? Du savoir expérientiel des malades à un référentiel de compétences intégré : l’exemple du modèle de Montréal. Presses Académiques Francophones, Sarrebruck, Allemagne.
[15] DCPP (2015). Référentiel de compétences des patients, Direction collaboration et partenariat patient. Faculté de médecine, Université de Montréal.
DU Art du soin en partenariat de soin avec le patient
Cette formation à l’Art du soin en partenariat avec le patient a pour particularité d’être une création coproduite par une association citoyenne, la Maison de la Médecine et de la Culture (MMC) et la Faculté de Médecine de l’Université Côte d’Azur.
Cette formation complémentaire s’adresse à des personnes impliquées dans dans le système de santé ou dans la cité pour autrui ou pour elles-mêmes désirant s’engager dans l’acquisition, le développement et la co-construction d’une culture de l’art du soin en partenariat avec le patient, avec les citoyens. Elle questionne et encourage les différentes manières de soigner, de se soigner, à travers des ateliers participatifs (questionnements philosophiques, éthiques à partir de grands films documentaires ou de fictions représentant la médecine, ateliers d’écriture narrative, mises en situation de récits narratifs, analyse de situations).
Les thèmes abordés
Primum non nocere – Devenir partenaire de soin – Le partenariat de soin entre professionnels de santé, patients et proches -Le soin jusqu‘au bout de la vie – D’abord, ne pas nuire. Tous malades ? – L’écoute – La décision partagée et le partenariat de soin – Programmé mais libre – Inventer le soin de demain, ensemble- Le professionnel de santé : soin et vulnérabilité – Le soin dans l’administration des soins – Précarité, inégalités sociales, accès aux soins et solidarités dans le soin – Soin et nouvelles technologies – Demain, la médecine intégrative -Autour du handicap.
Bibliographie conseillée
Evaluation :
Elle consiste en la participation au cours des 12 journées, associée à une soutenance durant laquelle est présentée la transformation de l’étudiant dans ce qu’il choisit de mettre en avant de la constitution de son portfolio et d’un projet ou une réalisation de partenariat à impact social que l’étudiant développe durant la formation.
voir la vidéo réalisée dans le cadre du prix PEPS 2018 décerné par le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche dans la catégorie innovation pédagogique en formation tout au long de la vie ci-dessous
voire la vidéo réalisée dans le cadre du prix PEPS 2018 décerné par le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche dans la catégorie innovation pédagogique en formation tout au long de la vie ci-dessous
Télécharger la plaquette d’information de la formation ci dessous
• Décideurs en santé • Étudiants en sciences de la santé • Patients chroniques • Proches • Professionnels de santé.
Organisation et Durée : 13 séances de 6h30 dont la session finale de soutenance.
Effectif : de 5 étudiants minimum à 20 étudiants maximum
Notre expérience de la formation a depuis 7 ans accueilli des promotions d’ étudiants composées de : médecin.s généraliste.s, spécialiste.s, hospitalier.e.s et libéraux, sage-femme, infirmier.e.s, orthophoniste.s, aide soignante devenue coordinatrice de programme d’éducation thérapeutique du patient (ETP) de Communauté pluriprofessionnelle territoriales de santé (CPTS), de patient.e.s, de proche.s, étudiants de médecine de 2ème, 3ème 4ème, 5ème et 6ème année et d’étudiants en sciences de la santé.
Cadre de formation : Initiale et Continue
Tarif de la formation : 407 euros (étudiants en médecine 350 euros). Bourses à l’étude.
Candidatures à déposer à partir du lundi 19 aout 2024 au mardi 15 octobre 2024 minuit.
Les dates de session ( sous réserve)
Les vendredi 9 à 12 heures 30 puis de 14 à 17 heures :
Le 6 décembre 2024
Les 10 et 24 janvier 2025;
Les 7 et 21 février 2025
Les 7 et 21 mars 2025
Les 4 et 18 avril 2025
Les 10 et 24 mai 2025
Le 6 juin 2025
Le 20 juin 2025, jour de soutenance
Responsable scientifique : Dr David Darmon, co-directeur médecin du CI3P, Directeur du département d’enseignement et de recherche en médecine générale (DERMG) et vice président de l’Université Côte d’Azur en responsabilité du Campus Santé.
Intervenants réguliers :
Jean-Michel Benattar (médecin spécialiste membre fondateur de la MMC et codirecteur organisationnel du CI3P) et coordinateur de la formation ;
Luigi Flora (patient-chercheur, codirecteur patient du CI3P) ;
Clémence Chao Boggero, étudiante en médecine, diplômée du DU en 2022
Céline Tisseur, docteure en sciences de l’Art, cadre infirmière de formation à la Croix rouge.
David Darmon (médecin généraliste, co-directeur médecin du CI3P, directeur du DERMG) ;
D’autre part, ce groupe d’apprentissage mutuel à l’Art du soin en partenariat avec le patient intègre lors de certains séminaires des invités tels des philosophes, anthropologues, écrivains…
Articles de Nice Matin sur le DU Art du Soin en partenariat avec le patient :
Le 8 octobre 2023 : Aurélie Selvi (2023). Cette formation universitaire niçoise révolutionne le rapport patient-soignant. Nice matin, le dossier du dimanche.
La motivation de cette formation relève de demandes formulées du fait de l’intérêt de patients, professionnels de santé et étudiants ne pouvant participer à la formule en présentiel, soit qu’ils ne résident pas dans le bassin niçois, soit que les horaires ne le leur permettent pas ou encore qu’une situation de handicap momentanée ou prolongées n’empêche leur présence à la faculté de médecine de Nice.
L’écoute, qui sied à l’Art du Soin en partenariat avec le patient, nous a ainsi, forts de l’expérience acquise lors de la pandémie, conduit à proposer cette option. La formation conserve la mêmes philosophie et le même programme selon des rythmes différents.
Les sessions, toujours organisées autour d’une œuvre d’art en lien avec un thème de santé à explorer ou approfondir, sont l’occasion tant de révéler nos représentations, la richesse des points de vue et approches, que de s’exercer à l’art du Soin en partenariat avec le patient et/ou le proche.
Chaque journée comporte plusieurs des ateliers suivants:
ciné-débat du film visionné en interséance,
retour de la bibliographie interséance,
atelier de médecine narrative, ou inspiré de la médecine narrative
atelier de mise en situation avec debriefing,
atelier « projet partenariat patient ».
Après une période d’appréhension du cadre, les œuvres d’art à partir desquelles sont conçues les sessions pédagogiques et les différents apports qui enrichissent la réflexions et la pratique peuvent être le fait des étudiants
Un portfolio se constitue tout au long de la formation, il comporte les traces d’apprentissage participatif et le travail personnel d’analyse de la bibliographie, des vidéos et des films conseillés, de proposition et d’analyse de situations cliniques vécues, fictionnelles ou simulées, ainsi que la description du projet partenaire.
Un projet ou une action de partenariat de soin avec le patient à impact social est conçu au cours de la formation, une action qui peut prolonger le temps de la formation
Responsable scientifique : Dr David Darmon, co-directeur médecin du CI3P, Directeur du département d’enseignement et de recherche en médecine générale (DERMG) et vice président de l’Université Côte d’Azur en responsabilité du Campus Santé.
Intervenants réguliers :
Jean-Michel Benattar (médecin spécialiste membre fondateur de la MMC et codirecteur organisationnel du CI3P) et coordinateur de la formation ;
Luigi Flora : patient-chercheur, codirecteur patient du CI3P et conseiller patient senior du Codirectrice patiente du Centre d’Excellence du Partenariat avec les patients et le public (CEPPP)
Arnaud Halloy, anthropologue (Absent en 2022-2024);
Nicolas Guillot, étudiant en médecine diplômé du DU en 2021;
Stéphanie Fauré, patiente diplômée du DU en 2020 ;
Julien Pernot, médecin pneumologue, diplômé du DU Art du Soin en partenariat avec le patient en 2024.
David Darmon, codirecteur médecin du CI3P;
Les plages d’inscription seront ouvertes du 19 août au 15 octobre 2023 à minuit pour la session 2024-2025.
Dates des sessions 2024-2025 :
le vendredi 14h-18h (sous réserve)
Le 13 décembre 2024
Les 17 et 31 janvier 2025
Les 14 et 28 février 2025
Les 14 et 28 mars 2025
Les 11 et 25 avril 2025
Le 17 mai 2025
Le 13 juin 2025, jour de soutenance sur la journée en visioconférence
Effectif : de 5 étudiants minimum à 20 étudiants maximum
Notre expérience de la formation a, depuis 3 ans, accueilli des promotions d’ étudiants composées de : médecin.s généraliste.s, spécialiste.s, hospitalier.e.s et libéraux, infirmières, orthophoniste.s, écrivains publics et hospitaliers, cadre hospitalier, patient.e.s dont certains étaient déjà en activités de partenariat, proche.s, étudiants de médecine de 2ème, 3ème et en sciences de la santé et en philosophie, communication
Cadre de formation : Initiale et Continue
Tarif de la formation : 407 euros (étudiants en médecine 350 euros). Bourses à l’étude.
Candidatures à déposer à partir du 21 août et jusqu’au 17 octobre 2024
Communications sur cette formation en congrès scientifique :
5 octobre 2022 :Flora L., Benattar J.-M., Fauré S., Desserme R., Rousselin L., Halloy A., Guillot N., Claessens A., Darmon D. Les Diplômes universitaire Art du Soin en partenariat avec le patient et la responsabilité sociale des universités. 3ème colloque international sur le partenariat de soin avec les patients. Ecole des Hautes Etudes en Santé publique (EHESP), Rennes, 5, 6, 7 octobre 2022
23 septembre 2022 : Flora L., Darmon D., Bouchez T., Verkest E., Coussement Y., Benattar J.-M., Ravot M., Gaspérini F., Rousselin L., Margo C., Rubinstein S., Danelsky C., Haas F., Casta C., Munck S.. « Développer une culture du soin entre professionnels de santé, du médico-social, des patients, proches, tous citoyens : le partenariat de soin avec les patients et le public« . 2ème Congrès International du RIFRESS : Réseau International Francophone pour la Responsabilité Sociale en Santé, Bruxelles, Belgique. 21-24 septembre 2022
Article de Nice Matin sur le DU Art du Soin en partenariat avec le patient:
Le 8 octobre 2023 : Aurélie Selvi (2023). Cette formation universitaire niçoise révolutionne le rapport patient-soignant. Nice matin, le dossier du dimanche.
Le 10 octobre 2024 en présence de tandems de partenariat professionnels de santé-patients partenaires avec le CI3P et de membres de la Maison de la Médecine et de la culture (MMC) organisent une rencontre ciné débat, vous pouvez vous inscrire en cliquant sur l’affiche en accédant à un formulaire
En janvier 2024, deux patient.e.s partenaires diplômés du DU Art du Soin en partenariat avec le patient en ligne impliqués dans la CPTS du pays de Grasse initient une rencontre ciné débat, voire l’affiche ci-dessous. Une CPTS qui exerce aujourd’hui avec 3 diplômés de cette formation, deux patient.e.s partenaires et une médecin.
En 2022, la CPTS Pays de Grasse a intégré un patient partenaire à son conseil d’administration et ouvre une consultation de ce patient partenaire pour recueillir les attentes des patients de la CPTS à la maison de santé pluri-professionnelle Centifolia de la ville de Grasse ( Lire la manière dont la CPTS pays de Grasse présente le CI3P)
Le 22 mars 2023
L’assemblée générale de la CPTS du pays de Grasse a été l’occasion en novembre 2023 de faire un point d’étape du partenariat entre la CPTS et le CI3P
Le tandem de partenariat a participé à la 4ème rencontré ciné-débat le 8 septembre à partir du film » THE FATHER » à Mouans-Sartoux, ville proche de Grasse
Une 3ème rencontre ciné-débat a eu lieu le 19 mai 2022 autour du film « Presque » avec deux patientes partenaires avec le CI3P, membres de l’association des patients avec paralysie cérébrale ( association créée au cours de la formation Art du Soin en partenariat avec le patient 2019-2020), une médecin de la CPTS a participé le 19 mai 2022 à la rencontre ciné-débat à partir du film « Presque » à Mouans Sartoux, ville limitrophe de Grasse
La maison de santé pluriprofessionnelle Centifolia, par le biais d’un tandem médecin patient créé au cours de la formation à l’Art du Soin en partenariat avec le patient en ligne organisées par le CI3P, la MMC et le DERMG d’Université Côte d’azur expérimente les entretiens entre des patients ayant consulté la médecin généraliste du tandem et un patient partenaire diplômé de la formation citée, depuis le printemps 2022.
Une médecin de la CPTS du pays de Grasse a participé les 21, 22, 23 mars 2022 aux évènements de la santé des femmes, avec elles
Une seconde rencontre ciné débat a eu lieu le 3 février 2022 au tour de la sortie du film « Rosy », avec les associations locales dont celle sur la sclérose en plaques, la MMC, le CI3P et des médecins spécialiste du centre spécialisé d’Antibes.
Une première rencontre a eu lieu le Jeudi 25 novembre 2021 en première partie de soirée, suiviele 3 février 2022 d’une première rencontre ciné débat Handi-ciné organisée avec la CPTS du pays de Grasse, deux associations d’usagers en pays de Grasse, du CI3P qui a mobilisé des médecins spécialistes et de l’association citoyenne Maison de la Médecine et de la Culture (MMC) à Mouans en Sartoux.
Le programme de la soirée précédée de l’Assemblée générale de la CPTS de 2021
Afin d’envisager les pistes d’organisation et de développement de la Communauté Pluriprofessionnelle du Territoire de Santé du pays de Grasse, un moment de convivialité et d’échanges autour de 4 ateliers animés est proposé :
Si pour animer l’atelier e-santé, Cécile Colombo qui vous présentera les fonctionnalités d’Azurezo, la messagerie instantanée sécurisée commune pour tous les professionnels des secteurs sanitaire, médico-social et social en Région Sud, l’atelier Patients partenaires – ambassadeurs santé sera lui animé avec Luigi Flora, Codirecteur patient du CI3P et le docteur Jean-Michel Benattar codirecteur opérationnel du CI3P.
En avant première de ce moment convivial de réflexion, voici quelques éléments essentiels composant cette proposition, des réponses aux premières questions qui pourraient émerger disponible également au téléchargement en cliquant ci dessous
Le CI3P crée une communauté de pratiques mobilisant des savoirs complémentaires autour de l’approche « Partenariat Patient » Le CI3P mobilise, dans un état d’esprit de partenariat, des acteurs dans le soin, dont font partie les patients et leurs proches, à partir de l’approche « partenariat de soin avec le patient ». Dans cet objectif, les patients qui souhaitent devenir « patients partenaires » peuvent participer à nos actions.
QUI PEUT DEVENIR PATIENT PARTENAIRES ?
Il y a en France 20 millions de personnes vivant avec au moins une maladie chronique et 11 millions de proches aidants. Tout patient ou proche aidant peut devenir « patient partenaire »dans la relation de soin et dans le système de santé, s’il le désire et s’il est accompagné par un « professionnel de santé partenaire ». Cela nécessite une reconnaissance du patient comme membre à part entière de l’équipe de soin à partir de la complémentarité entre ses savoirs concernant la vie avec la maladie et ceux des professionnels de santé.
QU’ATTEND-ON DE MOI ?
Vous mobiliserez ainsi votre expérience de la vie avec la maladie pour participer aux différentes actions du CI3P dans l’enseignement,la recherche et les milieux de soins. Vous participerez ainsi au rayonnement de la culture du partenariat de soin avec le patient au cœur même de la CPTS.
DEVENIR CITOYEN PARTENAIRE ?
Si les patients partenaires qui vivent avec une ou des maladies chroniques mobilisent leurs savoirs de la vie avec la maladie, d’autres mobilisent des savoirs sur la santé, des citoyens et citoyennes qui peuvent également être partenaires.
AI-JE LE PROFIL POUR PARTICIPER ?
La capacité d’analyse et la volonté de transmettre son savoir expérientiel dans un esprit de co-construction partenariale, sont des pré-requis indispensables. D’autres compétences sont précieuses telles que l’habilité à faire preuve d’altruisme; être à l’écoute, développer une communication interpersonnelle adaptée.
SI VOUS VOUS SENTEZ PRÊT ET DISPONIBLE…
Si vous considérez que rejoindre notre action peut avoir un sens, une première rencontre avec le binôme coordonnateur composé d’un patient et d’un médecin, vous permettra de faire part de vos savoirs expérientiels acquis dans votre parcours de soin.
Ciné débat à partir du film ROSY le 3 FÉVRIER 2022
Le 3 février 2022la CPTS du pays de Grasse en partenariat avec le CI3P, la Maison de la Médecine et de la Culture (MMC), association d’éducation citoyenne dans le domaine de la santé et les associations » Soutien, Espoir et Prévention des patients chroniques » et « des paralysés de France », les médecins neurologues d’Antibes t du CHU de Nice, Saskia Bresch et Renato Colamarino ont proposé un débat, à partir d’une oeuvre d’art récente, le film Rosy (voir la fiche dans notre rubrique Art et Soin) au cinéma La Strada de Mouans en Sartoux.
Un évènement relayé par la presse locale et régionale (Nice Matin,
Cette première doit se poursuivre dans le cadre de cette coorganisation à travers un cycle régulier de Ciné Santé en partenariat avec le centre culturel des Cèdres de Mouans Sartoux, le cinéma La Strada, et les organisations ayant participer à cette première.
Le Centre d’Innovation du Partenariat avec les Patients et le Public (CI3P) en partenariat avec la Maison de la Médecine et de la Culture (MMC) et l’équipe de la Maison de Santé Pluriprofessionnelle (MSP) de L’Olivier de la Trinité de Nice vous convie àla représentation de la pièce de théâtre RIVERAINES qui sera suivi d’un débat le 19 juillet 2024 à 19hau 109, 89 route de Turin à Nice
Riveraines est une création de la compagnie Mi-Fugue Mi-Raison avec qui le CI3P a déjà collaboré à partir de leur oeuvre théâtrale SPECULUM. Riveraine est jouée par Delphine Biard, Mia Delmaës, Flore Grimaud et Caroline Sahuquet avec Flore Grimaud, Caroline Sahuquet et en alternance Delphine Biard ou Cécile Martin. Collaboratices de recherche Clélia Gasquet-Blanchard et Garda Delépine-Riveraines, fruit de 2 ans d’enquêtes, met en lumière les trajectoires migratoires de femmes enceintes ou mères de très jeunes enfants et les dysfonctionnements systémiques du monde médico-social auxquels elles sont confrontées. Elle nous donne à voir et à réfléchir autant de la violence subie par ces femmes que par celles, travailleuses sociales et professionnelles de santé, qui les accompagnent tant bien que mal dans leur parcours semé d’embuches. Riveraines montre aussi le lien, la solidarité, la force jour après jour.
Cette oeuvre est suivie d’un échange avec le public présent.
Un livre qui questionne les normes, une personne qui s’est trouvée ses propres normes en référence au patient philosophe Philippe Barrier qui porte l’idée du patient auto-normatif en prolongement des travaux du médecin philosophe Georges Canguilhem sur « le normal et le pathologique ».
L’entretien est mené par une patiente partenaire avec le CI3P, diplômée du Diplôme universitaire Art du Soin en partenariat avec le patient. Le podcast a été réalisé le 17 mai 2024. Ce podcast a été réalisé au cours d’une journée consacrée à la question de la grossophobie.
Ce séminaire conçu en 2022 a été proposé pour la première année à l’hiver 2024.
Il a été coconçu en partenariat avec les patients, avec le CI3P, et une équipe pluridisciplinaire tant hospitalière que de ville. Il est proposé dans le cursus de médecine générale en option en 2024 et ouvert à l’interdisciplinarité, et donc aux étudiants en sciences de la santé.
En 2024 ce sont des internes en médecine générale de 7, 8 et 9 ème années qui y ont participé avec des étudiantes infirmières et en cursus d’Infirmières de pratique avancée (IPA)
L’équipe pédagogique était composé de la médecin coordinatrice du CHU de Nice, de celle du centre d’oncologie de Lacassagne, d’un médecin généraliste coordinateur en soins palliatifs, d’une psychologue, d’une infirmière de l’unité mobiles de soins palliatifs, d’une cadre infirmière de ‘IFSI de la croix rouges, et de 3 patient.e.s partenaires dont l’un est codirecteur du CI3P en tandem de partenariat avec le médecin coordinateur opérationnel du CI3P .
Le séminaire est initié par un atelier de médiation artistique, à partir d’un extrait de film suivi d’un débat.
La seconde séquence pédagogique consiste en un atelier inspiré de médecine narrative parce qu’organisé avec la présence de patients partenaire participant afin de se rencontrer et d’échanger sur les enjeu de la rencontre dans le soin.
La troisième séquence pédagogique permet à travers un speed dating, conçu à partir des attentes relevées en amont des étudiants de 4 atelier décrit dans l’affiche ci dessus.
La conclusion de la journée de séminaire est l’occasion, à travers la table ronde de lever les derniers questionnement de la journée et les apprentissages de ce séminaire.
Le Centre d’Innovation du Partenariat avec les Patients et le Public (CI3P) de la faculté de médecine d’Université Côte d’Azur est engagé depuis plusieurs années auprès de la Société Française de Pharmacie Clinique (SFPC) en France (1). Il a initié au sein de l’écosystème de recherche et de formation des sciences de la santé, HEALTHY, un dispositif pédagogique de sensibilisation et de formation à la collaboration interprofessionnelle en partenariat avec les patients auprès d’étudiants de second cycle de 6 professions de santé depuis 2022, à participé à la publication d’un chapitre d’ouvrage collectif sur la formation en médecine générale sur la collaboration interprofessionnelle en partenariat avec le patient (Bouchez et al, 2022) (2) et accompagne un projet de recherche formation à cette thématique intitulé iES-Collab qui réunit 13 écoles et facultés des sciences de la santé au sein d’un partenariat avec l’Université Côte d’Azur, l’université d’Aix Marseille à travers sa faculté de pharmacie, la seule proposant les études de 1er cycle de la région PACA et la chaire de leadership pédagogique de l’Université Laval à et au Québec au Canada. C’est dans ce courant que le CI3P participe à un groupe de travail missionné par le CIDPHARMEF, la conférence des doyens de facultés de pharmacie des universités Francophones, rejoint en novembre par le CIDMEF, la conférence des doyens de facultés de médecine des universités francophones sous l’égide des présidents d’Université francophone (UAF).
C’est dans ce cadre qu’est organisé le 20 février 2024 un webinaire sur le sujet dont l’invitation apparait ci dessous auquel vous pouvez vous inscrire et vous connecter en cliquant sur l’affiche :
Une collaboration qui réunit le codirecteur du CI3P et Marie Claude Vanier, qui ont œuvré ensemble à la mis en place d’un cursus dédié à la collaboration interprofessionnelle en partenariat avec les patients auprès d’étudiants de 13 disciplines au cours de leurs 3 premières années de formation à l’université de Montréal (UdeM) (Vanier et al, 2014 (3); Vanier et al, 2014(4);Vanier et al, 2016 (5); Vanier et al, 2023 (6))
Références
(1). Hache G., Flora L., Benattar J.-M., Salat E., Merle R. Table ronde de clôture « quelles implications pour quels apprentissages dans l’enseignement avec les patients« , 19ème Congrès de la Société Française de Pharmacie Clinique (SFPC). Palais de la musique et des congrès de Strasbourg, les 14, 15, 16 mars 2022.Le 16 mars, 2022
(1) bis Flora L. « La place des patients dans l’apprentissage professionnel des sciences de la santé« . 18ème congrès de la Société Française de Pharmacie Clinique, Salles des congrès, parc Chanot, de Marseille. Le 29 janvier 2020.
(2).Bouchez T., Rousseau A., Fiquet L., Meury P., Flora L. Virot G., Bardet J.-D., » Coopération interprofessionnelle, organisation pluriprofessionnelle. Médecine générale pour le praticien. Issy les Moulineaux, Elsevier-Masson, pp. 517-525.
(3). Vanier MC, Dumez V, Drouin E, Brault I, MacDonald SA, Boucher A, Fernandez N, Levert MJ et al. Partners in Interprofessional Education: Integrating Patients-as-Trainers. Dans: Fulmer, T & Gaines, M. Partnering with Patients, Families, and Communities to Link Interprofessional Practice and Education. Proceedings of a conference sponsored by the Josiah Macy Jr. Foundation in April 2014; New York: Josiah Macy Jr. Foundation; 2014, pp 73-84.
(4). Vanier M.-C., Flora L., Dumez V. (2014), « Dal Paziente “esperto” al “paziente Formatore : l’esempio dell’Università di Montreal », in (Dir. Padula M.-S., Aggazzotti G.), Manuale per il docente di medicina generale : comme insegnare la medicina generale nelle cure primarie, Facoltà di Medicina e Chirurgia di Modena, Italia, pp.149-168.
(5).Vanier M.-C.,Flora L., Lebel P. (2016), « Un professionnel de santé qui exerce une pratique collaborative en partenariat avec le patient », in (Dir. Pelaccia T.) Comment [mieux] former et évaluer les étudiants en médecine et en sciences de la santé, Bruxelles, De Boeck, pp. 63-85.
(6). Vanier M.-C, Flora L., Lebel P., Wiesner Conti J., Picchiotino Zokka P.(2023). Un professionnel de santé qui exerce en collaboration : la pratique collaborative en partenariat avec le patient. in Comment mieux former et évaluer les étudiants en médecine et en sciences de la santé ? 2ème édition (1ère édition 2016), Louvain la Neuve : De boëck, pp. 65-88.